Tapir de montagne ou tapir des Andes
Le tapir de montagne également appelé tapir des Andes ou tapir laineux (Tapirus pinchaque) habite les hautes régions andines, en Colombie, en Equateur et au Pérou.
Son pelage fourni lui permet de résister au froid qui règne de2 000 m
à 4 500 m
d’altitude. C’est l’une des quatre espèces de tapirs qui constituent la famille
des Tapiridae.
Habitat
Tapirus pinchaque fréquente les forêts et les prairies d’altitudes. On ne le trouve pas à moins de2 000 m d’altitude.
Portrait
C’est la plus petite des quatre espèces. Son poids varie de 136 à182 kg .
Son pelage est très fourni afin de le protéger du froid. La robe varie du brun
au noir avec des poils d’environ 2,5
cm de long.
Les lèvres et les bouts des oreilles blancs caractérisent également ce tapir. De plus, contrairement aux autres espèces, les yeux sont assez grands. Ces derniers sont normalement bruns mais certains individus ont les yeux bleuâtres. D’après une étude, cette couleur anormale serait due à une exposition excessive à la lumière.
Alimentation
Chaque individu possède un territoire d’environ880 hectares . Ils
s’alimentent la nuit de feuilles, d’arbustes, de baies et d’herbe.
Reproduction
Comme pour les autres espèces, la femelle met au monde un seul jeune, exceptionnellement deux.
La période de gestation est en moyenne de 398 jours. L’intervalle entre les naissances est d’environ 2 ans.
Le nouveau-né pèse environ4 kg .
Conservation
Cette espèce est en danger d’extinction. On estime qu’il ne reste qu’environ 2 000 individus en liberté.
La destruction des forêts est la principale cause de cette extinction. Le tapir de montagne ne supporte pas la captivité ce qui ne donne guère de chance à cette espèce de survivre au-delà des 20 prochaines années. Quelques rares zoos en hébergent et la reproduction en captivité est très rare.
Malgré leur raréfaction, ils continuent à être chassés pour leur viande, leur peau et pour servir d’ingrédients à des remèdes médicinaux.
Pour sauver cette espèce, il faudrait préserver une grande partie de leur habitat et donner aux populations locales une aide économique.
Autant dire que cela relève presque de l’utopie.
Il n’existe qu’un seul parc régional en Colombie dans lequel les tapirs des Andes sont protégés. Malheureusement, la population est bien insuffisante pour garantir une reproduction sans consanguinité.
Le tapir de montagne également appelé tapir des Andes ou tapir laineux (Tapirus pinchaque) habite les hautes régions andines, en Colombie, en Equateur et au Pérou.
Son pelage fourni lui permet de résister au froid qui règne de
Habitat
Tapirus pinchaque fréquente les forêts et les prairies d’altitudes. On ne le trouve pas à moins de
Portrait
C’est la plus petite des quatre espèces. Son poids varie de 136 à
Les lèvres et les bouts des oreilles blancs caractérisent également ce tapir. De plus, contrairement aux autres espèces, les yeux sont assez grands. Ces derniers sont normalement bruns mais certains individus ont les yeux bleuâtres. D’après une étude, cette couleur anormale serait due à une exposition excessive à la lumière.
Alimentation
Chaque individu possède un territoire d’environ
Reproduction
Comme pour les autres espèces, la femelle met au monde un seul jeune, exceptionnellement deux.
La période de gestation est en moyenne de 398 jours. L’intervalle entre les naissances est d’environ 2 ans.
Le nouveau-né pèse environ
Conservation
Cette espèce est en danger d’extinction. On estime qu’il ne reste qu’environ 2 000 individus en liberté.
La destruction des forêts est la principale cause de cette extinction. Le tapir de montagne ne supporte pas la captivité ce qui ne donne guère de chance à cette espèce de survivre au-delà des 20 prochaines années. Quelques rares zoos en hébergent et la reproduction en captivité est très rare.
Malgré leur raréfaction, ils continuent à être chassés pour leur viande, leur peau et pour servir d’ingrédients à des remèdes médicinaux.
Pour sauver cette espèce, il faudrait préserver une grande partie de leur habitat et donner aux populations locales une aide économique.
Autant dire que cela relève presque de l’utopie.
Il n’existe qu’un seul parc régional en Colombie dans lequel les tapirs des Andes sont protégés. Malheureusement, la population est bien insuffisante pour garantir une reproduction sans consanguinité.
mohameddouhaji7@gmail.com